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Remaniement : Nicolas Sarkozy dans les pas de Mitterrand ?
05/11/2010 19:10
Cela fait des mois que le président de la République chercher à tenir en haleine le pays avec le remaniement ministériel qui devrait avoir lieu ce mois-ci. Petit point sur les dernières spéculations.
Un vrai soap-opéra
Dans un premier temps, le président ne semblait pas pouvoir se passer de son premier ministre, qui a tant enduré et que les Français apprécient. Puis, le locataire de Matignon a semblé entamer une tournée d’adieu en se permettant même quelques pics contre son patron. Ce dernier a alors lancé plusieurs pistes pour son remplacement maris un grandissime favori a rapidement émergé, Jean-Louis Borloo, qui pourrait incarner un virage plus social rendu nécessaire par le conflit sur les retraites.
Pourquoi une telle manœuvre ?
Si François Fillon est finalement reconduit, on ne saura jamais si l’option Jean-Louis Borloo était réelle ou seulement destinée à entretenir un faux suspens pour donner une impression de surprise au maintien du locataire actuel. Mais il est quand même assez peu probable que le maintien du premier ministre permette de donner un nouveau souffle au quinquennat. Quand à Jean-Louis Borloo, l’écart de popularité avec le président risque d’être encore plus grand qu’aujourd’hui.
Cependant, ce dernier reste une option sérieuse pour trois raisons. Tout montre qu’il s’y prépare, sa présence pourrait être remise en question s’il n’est pas promu et il pourrait contribuer utilement au recentrage de l’image du président. La seule autre solution serait d’opter pour l’effet de surprise avec la nomination d’un lieutenant fidèle (Hortefeux, Guéant ou Châtel). Après des semaines passées sur un faux duel Fillon-Borloo, le président pourrait surprendre. Mais pour quel bénéfice ?
Et si la séquence qui vient de se dérouler renforcer finalement les deux grands favoris ? Un autre choix de la part d’un président impopulaire reviendrait à refuser deux personnalités qui bénéficient d’une bonne image dans l’opinion. Du coup, ils sont sans doute à juste titre les deux grands favoris.
Laurent Pinsolle
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De Gaulle : l'homme et la légende
04/11/2010 22:57
De Gaulle, l'homme et la légende
De François Broche
Biographie
Broché
Edité en 05/2010
Edition Archipel
ISBN : 9782809803396
Depuis qu'il a quitté le pouvoir, il reste à Charles de Gaulle une " mission " : la rédaction des Mémoires d'espoir, qu'il redoute de ne pas mener à son terme. Le voici seul face à l'Histoire, qu'une fois de plus il écrit après l'avoir faite. Et seul face à sa mort prochaine. Non qu'elle l'effraie : elle est sa compagne familière depuis la Grande Guerre. Elle n'a cessé de se rappeler à lui. Il s'est toujours promis de l'accueillir debout, impassible mais non indifférent. La maladie, les deuils, les attentats : aucune épreuve ne lui a été épargnée. Il y a toujours fait face avec sa sensibilité, sa pudeur, sa force de caractère, mais aussi ses angoisses et ses doutes. N'a-t-il pas connu, au moins une fois dans sa vie, la tentation du suicide ? " Il y a le pauvre homme de Gaulle, disait-il. Et puis il y a le de Gaulle dont on attend l'Histoire. " C'est leur rencontre qu'organise François Broche dans cet essai qui confronte l'homme et sa légende, l'action politique et la méditation philosophique. Eclairant l'ultime journée du 9 novembre 1970 à l'aide de témoignages rares, il prolonge d'ombres intimes la silhouette du " plus illustre des Français ".
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Une défaite pour Obama et pour la démocratie étasunienne
04/11/2010 19:20
Mardi, même s’ils n’ont pas gagné le Sénat, les républicains ont largement gagné les élections de mi-mandat, infligeant à Barack Obama une lourde défaite, comme Bill Clinton en 1994. Que cela signifie pour le président étasunien et la démocratie du pays ?
Une lourde défaite des démocrates
Bien sûr, le fait que les démocrates gardent le Sénat, ou que quelques figures du Tea Party aient mordu la poussière peuvent faire croire que le résultat n’est pas si mauvais pour l’administration en place. Mais il n’en est rien. Il ne faut pas oublier que le Sénat était seulement renouvelé d’un tiers et que, grosso modo, les républicains ont gagné deux fois plus de sièges que les démocrates, qui ne conservent leur majorité que grâce aux sièges gagnés il y a deux ans.
De même, la majorité républicaine au Congrès peut paraître relativement peu élevée (239 représentants contre 183 pour les démocrates). Cependant, il ne faut pas oublier qu’aux Etats-Unis, les ravages du redécoupage électoral atteignent des sommets, avec beaucoup de circonscriptions taillées sur mesure pour ne jamais changer de couleur politique, quelques soient la force des vagues électorales. La majorité républicaine est donc très forte et représente un grand succès.
Une démocratie abîmée
Cette élection démontre à nouveau les carences des institutions étasuniennes qui imposent des campagnes tous les deux ans et ne laissent finalement que quelques mois au gouvernement pour travailler sereinement. Car dès à présent, la préparation des primaires va dominer l’agenda politique puisque les électeurs vont voter dès le mois de janvier 2012... En outre, le pays n’a plus de direction politique claire et rien ne devrait avancer pendant les deux prochaines années.
Enfin, ces élections ont également été celles de l’argent : quatre milliards de dollars ont été dépensés ! Et avec la liberté de parole, les campagnes électorales ont été d’un niveau effroyablement bas, se limitant à des polémiques stériles et souvent diffamatoires. Petite lueur d’espoir : Meg Whitman n’est pas parvenue à acheter le poste de gouverneur de Californie, malgré un budget de campagne d’environ 150 millions de dollars (l’équivalent du budget publicitaire de L’Oréal en France en un an !).
Si la défaite de Barack Obama n’est pas aussi cinglante que certains l’imaginaient, le coup de barre à droite est tout de même violent. Il est difficile de ne pas y voir, malheureusement, un terrain favorable à une candidature de Sarah Palin pour les élections présidentielles de 2012.
Laurent Pinsolle
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Congrès National du 21 novembre 2010
04/11/2010 18:43
Par delà les questions traditionnelles liées à la vie du mouvement, le deuxième Congrès National de Debout la République sera un premier jalon vers une échéance décisive pour la France, l’élection présidentielle de 2012.
En effet, à mesure des alternances ratées et des trahisons dont ils sont victimes depuis 30 ans, les Français désespèrent chaque jour un peu plus de la vie publique et l’abstention gangrène ce qu’il reste de notre démocratie. Et pour cause : comment ne pas les comprendre tant notre pays s’enfonce dans le cercle vicieux de l’impuissance publique et du chacun pour soi !
Plus nos dirigeants ont abandonné les pouvoirs qu’ils tenaient du peuple aux oligarchies mondialistes, à Bruxelles et aux puissances d’argent, moins - bien entendu - ils ont été capables de porter un véritable projet national et d’obtenir des résultats concrets à l’échelle du pays.
Tout l’enjeu de 2012 sera donc de redonner aux Français la capacité de croire en la France, de parvenir à les rassembler autour de valeurs et d’un projet commun, de réussir à leur redonner le goût et la fierté de vivre ensemble.
Mais pour cela, encore faudra-t-il que la France retrouve la maîtrise de son destin, c’est-à-dire une véritable capacité à agir au service du seul intérêt général.
C’est notre défi : Debout la République sera en pointe du combat pour que la France retrouve son indépendance territoriale, son indépendance économique et bien sûr son indépendance politique !
Ensemble, écrivons une nouvelle page de l’histoire de France !
Nicolas Dupont-Aignan
Député de l’Essonne Président de Debout la République
L’entrée sera libre dès 11h30. N’hésitez pas à inviter vos amis et vos collègues afin de diffuser le plus largement possible notre message.
L’ambiance sera festive et aux couleurs de la République. De nombreux invités ont répondu positivement à notre invitation, comme Paul-Marie Coûteaux, Edwy Plenel ou bien encore Jacques Sapir.
Le Congrès sera conclu à 15h30 par le discours de Nicolas Dupont-Aignan. Il s’agira d’un discours fort, le premier discours du premier candidat à l’élection présidentielle de 2012.
Pour tout complément d’information, n’hésitez pas à nous contacter au 01 69 49 17 37, ou par courriel à courrier@debout-la-republique.fr
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